Id Monica Jornet

Je suis une poète francophone, née au siècle dernier dans un taxi parisien, amie des langues et des arts. Gaston Couté, dont je goûte la langue beauceronne, et moi, nous sommes croisés, il allait à Paris et je venais dans le Loiret, tous deux pour y vivre notre poésie.

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Mes livres

Chacun de mes livres de poésie répond à un projet différent, qui s’ouvre tout naturellement quand le précédent s’épuise ou s’achève. Chacun de mes poèmes peut être entendu dans le ton et toutes ses modulations : lyrique, philosophique, sensible, sentimental, émotionnel, engagé, humoristique, onirique, imaginaire ou réaliste, et ainsi de suite (à savoir des fantaisies et des inclassables).  Il en va de même pour la forme, toujours libre, qu’elle soit fixe ou non, novatrice ou plus classique, selon le sujet.

Comme un rite partagé, j’ai remplacé la dédicace en vers à quelque puissant, que les poètes pratiquaient autrefois, par une adresse poétique à mes lecteurs, pour chaque titre. Les remerciements en fin d’ouvrage ont également une partie variable à découvrir. Un poème hors cadre clôt chaque livre comme un petit plus avant de le refermer.

Les arts, la liberté, poèmes pour les femmes, poèmes contre la guerre, poèmes à lire aux enfants, poèmes d’amour et d’amitié, les 4 saisons, climat et éléments naturels, faune et flore, les cinq sens, l’humanité, la société, le voyage, les lieux, les natures mortes, les loisirs, le temps, poètes et poésie, l’écriture, les mots, les livres et la lecture, la langue, pensées, rêves et fantaisies, humour, etc.

Mais aussi :

Promenade guidée à travers le sonnet et ses variantes, Actualité des formes fixes de la poésie française, Visite privée du vers libre, etc.

Un mot sur les couvertures, dont je signe la photo : j’aime faire des photos avec mon œil de poète, et tout particulièrement saisir ce qui n’avait pas vocation à être de l’art. Je le dis dans un poème de Feuilles volantes : « La rue a de ces beautés accidentelles ».  Trois essais de peinture sur un mur de la ville, la marque d’une affiche dans un intérieur à l’abandon et une feuille de journal froissée sur un trottoir, à Naples pour mes trois premiers livres ; les pavés brûlés sur la place et des traces sur une vitre côté jardin, à Montargis pour les quatrième et cinquième.